Billet d'humeur : L’économie du savoir. Construction, enjeux et perspectives
C’est le titre de mon dernier ouvrage, qui sera disponible aux alentours de fin novembre prochain, mais qui est déjà disponible sur Amazon.fr en cliquant ici. Plutôt qu’une présentation personnelle toujours un peu fastidieuse ou suspecte de partialité, je préfère laisser la plume, à Bernard Ramanantsoa, Directeur Général d’HEC Paris, auteur de la préface que je reproduis et qui s’exprime plus librement...
« L’économie du savoir de Jean-Pierre Bouchez est ce qu’il convient d’appeler une somme. Pour la première fois depuis longtemps un auteur prend le risque de dépasser les discours idéologiques sur l’économie du savoir en proposant plusieurs mises en perspective de ce qui n’est resté trop longtemps qu’une abstraction.
Billet d’humeur : A propos de la critique libérale des services professionnels intellectuels.
On peut rendre compte de cette critique classique, d’essence libérale à travers un double questionnement complémentaire, concernant d’une part « l’illégitimité » supposée des professions et, d’autre part, de manière plus illustrative et contemporaine, de l’avenir du partnership au sein des services professionnels intellectuels.
Billet d’humeur : L’histoire du courant des relations humaines ou le recit d’un detournement…
Bien que relativement peu connue, l’expérience pourtant emblématique dite de Hawthorne, nécessite d’être survolée dans ce cadre car elle constitue la source initiale qui va alimenter le développement du courant très porteur des relations humaines, principalement axé sur le développement d’actions de formation. Ce courant va en effet irriguer les grandes entreprises des pays industrialisés, dont la France, au moins durant trois décennies, surtout à partir des années 1950. Les consultants avertis ne peuvent ignorer les impacts et les limites, mais aussi l’histoire de ce qui constitue par ailleurs une forme de détournement.
Billet d'humeur : Les connaissances comme bien, si précieux, aux propriétés si particulières…
Les connaissances sous leurs différentes formes sont (notamment les connaissances tacites, singulières, ésotériques ou expertes) comme on a souvent l’habitude de le répéter, au cœur de la croissance économique dans la mesure où elles sont souvent contributives d’innovations. Surtout, les connaissances, de part leur nature intangible, possèdent des propriétés très particulières, que des économistes, (au premier rang desquels Kenneth Arrow, prix Nobel d’économie en 1972), ont mis en exergue et qui échappent pour une très large part à la logique des biens matériels.
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